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Cour de cassation, arrêt du 11 janvier 2024, pourvoi N° 22-16.974

Juris Jurisprudence

Cour de cassation
Troisième chambre civile
11 janvier 2024
Pourvoi N° 22-16.974

In Cité c./Le Palmier de Mahdia et la Société Laurent Mayon

Faits et procédure
Selon l’arrêt attaqué (Bordeaux, 29 mars 2022), le 9 mars 2012, la société In Cité La Cub, aux droits de laquelle vient la société In Cité métropole territoires (la société In Cité), a consenti à M. G une convention d’occupation précaire d’un local de stockage.
Se plaignant d’un dégât des eaux, M. G, la société Le Palmier de Mahdia, dont il est le gérant, et la société Laurent Mayon, en qualité de mandataire judiciaire au redressement de cette société, ont, après expertise judiciaire, assigné la société In Cité, et son assureur, la société Axa France Iard (l’assureur), en indemnisation de leurs préjudices.

Examen du moyen
Sur le moyen, pris en sa deuxième branche
Enoncé du moyen
La société In Cité fait grief à l’arrêt de la condamner à payer à M. G et à la société Le Palmier de Mahdia diverses sommes à titre de dommages-intérêts, alors «que sauf stipulation particulière, la convention d’occupation précaire ne comprend aucune obligation de délivrance ; qu’au demeurant, en retenant que la société In Cité avait manqué à son obligation de délivrance, sans dire en quoi la convention d’occupation précaire comprenait une telle obligation, la cour d’appel a violé l’article 1147 du Code civil, dans sa rédaction antérieure à celle issue de l’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016.»

Réponse de la Cour
Vu les articles 1147, dans sa rédaction antérieure à celle issue de l’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016, et 1719 du Code civil :

Il résulte du premier de ces textes que, sauf cause étrangère, le débiteur d’une obligation contractuelle est tenu de réparer, le cas échéant par le paiement de dommages-intérêts, le préjudice causé à son cocontractant en raison de l’inexécution fautive, ou réputée fautive, de cette obligation.
Selon le second, le bailleur est obligé, par la nature du contrat, et sans qu’il soit besoin d’une stipulation particulière de délivrer au preneur la chose louée et d’entretenir cette chose en état de servir à l’usage pour lequel elle a été louée.
Une convention d’occupation précaire n’étant pas un bail (3e Civ., 19 novembre 2014, pourvoi n° 13-20.089, Bull. 2014, III, n° 150), l’occupant à titre précaire ne peut se prévaloir des dispositions de l’article 1719 du Code civil, mais doit établir un manquement de son cocontractant à ses obligations contractuelles.
Pour condamner la société In Cité à indemniser M. G et la société Le Palmier de Mahdia des préjudices consécutifs au dégât des eaux, l’arrêt retient que l’existence d’infiltrations dans le local, même si leur cause reste indéterminée, caractérise un manquement de la société In Cité à son obligation de délivrance.
En statuant ainsi, alors que la convention d’occupation précaire n’est régie que par les prévisions contractuelles des parties, la cour d’appel a violé les textes susvisés.

Portée et conséquences de la cassation
La cassation du chef de dispositif en ce qu’il condamne la société In Cité à payer diverses sommes à titre de dommages-intérêts à M. G, à la société Le Palmier de Mahdia et à son mandataire judiciaire, n’emporte pas celle des chefs de dispositif de l’arrêt rejetant les demandes de condamnation à l’encontre de l’assureur.

Mise hors de cause
En application de l’article 625 du Code de procédure civile, il y a lieu de mettre hors de cause l’assureur dont la présence n’est pas nécessaire devant la cour d’appel de renvoi.

Par ces motifs, et sans qu’il y ait lieu de statuer sur les autres griefs, la Cour :
– Casse et annule, mais seulement en ce qu’il condamne la société In Cité à payer à la société Le Palmier de Mahdia et à la société Laurent Mayon, ès qualités, les sommes de 272.656,40 euros au titre du préjudice matériel et de 8.000 euros au titre du préjudice moral, et à M. G la somme de 8.000 euros au titre du préjudice moral et en ce qu’il statue sur les dépens et l’application de l’article 700 du Code de procédure civile, l’arrêt rendu le 29 mars 2022, entre les parties, par la cour d’appel de Bordeaux ;
– Remet, sur ces points, l’affaire et les parties dans l’état où elles se trouvaient avant cet arrêt et les renvoie devant la cour d’appel de Bordeaux, autrement composée ;
– Met hors de cause la société Axa France Iard ;
– Condamne M. G et la société Le Palmier de Mahdia aux dépens ;

En application de l’article 700 du Code de procédure civile, rejette les demandes ;
– Dit que sur les diligences du procureur général près la Cour de cassation, le présent arrêt sera transmis pour être transcrit en marge ou à la suite de l’arrêt partiellement cassé ;
(…)


Tags

JURISPRUDENCE / DROIT AU BAIL


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